L’interview du vendredi
1 min readSortir de loin, il l’a fait avec dignité sans demander le pourquoi ni le comment, c’est l’image de notre invité avec sa barbe blanche et noire.
Victime d’un accident qui lui fait devenir pensionnaire de trois hôpitaux de Maurice et s’en sorti comme un chef après un accident de la route et il conduit toujours.
Ayant perdu son épouse, il a trouvé les mots adéquats pour des deux anges, ces filles, afin d’apaiser leurs peines, lui aussi compris, un soir qui lui a marqué à jamais.
Ne croyez pas qui court derrière les 180 jours perdus, non, c’est dans la méditation et dans sa « bulle » que l’homme fait place à l’artiste, le poète, le peintre, l’art du pardon et la préparation du ses mots du jour, en kreol, remplis de réflexion profonde sur son mac.
Pardon, excuses, le don de se soustraire de l’incertitude de la vie et d’écrire chaque jour noir sur blanc la continuité de son « Simin » notre invité ne déroge pas aux trois piliers qui lui sont chers.
C’est L’interview du Vendredi de Nad’n Mannikum, peintre-poète.